« Souvent, Dieu nous indique la voie vers un nouveau départ… Observez la nature, elle nous enseigne une grande leçon. Elle témoigne du pouvoir et de la volonté de Dieu. La saison du printemps, où les fleurs et autres plantes bourgeonnent, quand le vent emporte leurs petites semences vers de lointains horizons : la volonté de Dieu se manifeste dans le vent, la pluie et l’orage qui aident ces semences à pousser ailleurs. Vous pouvez observer ces fleurs dans votre jardin où elles ont peut-être poussé et pris racines autour d’un rocher ou les observer en haut d’une montagne. Cela prouve que Dieu a un plan pour chacun. Dans notre cas, Dieu a choisi la voie de l’immigration. » Mina Tazebahadi
C’est à l’âge de 12 ans que Mina Tazehabadi a pour la première fois entendu parler de Jésus-Christ. Elle habitait au cœur d’un pays islamique dans une famille musulmane fidèle, Mina a été intriguée par « le chant de Bernadette, » un film qui détaille la vie de Sainte Bernadette et les 18 visions qu’elle a reçues de Marie, la mère de Jésus.
Mina ne se doutait pas que sa curiosité la mènerait elle et sa famille dans un périple à travers la moitié du monde et les exposerait aux risques de persécutions, d’emprisonnement, de mort et de se faire renier par leur famille et leur pays d’origine pour se convertir de leur foi musulmane au mormonisme.
Découvrir le Christ dans le Coran
A douze ans, Mina voulu en apprendre plus sur Jésus-Christ quand elle a lu le Coran qui parle de « Jésus, le fils de Marie » et de ses souffrances. Son désir de connaître le Christ s’est intensifié.
« Malheureusement, à cause de la révolution en Iran, beaucoup de mes désirs m’ont été volés, » confie Mina dans ses mémoires que sa fille Tara a traduites en anglais.
Après qu’une de ses amies lui ai parlé de la Bible, Mina a décidé de se rendre dans une église chrétienne près de chez elle. Mais à cause des nouvelles lois interdisant les chrétiens de prêcher leur religion, les gardes de sécurité n’ont pas permis à Mina d’entrer.
« Alors j’ai dû attendre d’avoir la chance d’enfin pouvoir me rendre dans une église pour en apprendre plus sur la Bible » a dit Mina. « Je voulais posséder et lire une Bible en Farsi, mais malheureusement je n’en ai pas eu l’occasion. »
Trouver de l’espérance en le Christ
En 1989, un petit miracle s’est produit dans la vie de Mina quand elle a commencé à travailler en tant qu’assistante pour un docteur d’origine irano-allemande. »
« Ils avaient quatre filles, » a écrit Mina dans ses mémoires, « l’une des filles était malade et a eu un problème dans ses os. » Mais ils étaient si patients et avaient une grande foi. Ils disaient toujours que Jésus-Christ allait guérir leur fille. »
Pendant un peu moins de deux ans, Mina a travaillé et appris du couple avant qu’ils ne soient déportés et déménagent en Allemagne.
Mina n’a pas eu besoin d’attendre longtemps avant qu’un nouveau miracle se produise, la rapprochant davantage du christianisme.
« Quelques temps après, j’ai rencontré mon mari qui vivait à côté de chez nous, » a-t-elle écrit. « Quand je parlais de religion avec lui, il avait les mêmes idées que moi… et cela me rendait heureuse. C’est comme si Dieu m’avait donné une nouvelle chance. »
Le 1er octobre 1991, Iraj et Mina Tazehabadi ont commencé leur nouvelle vie ensemble. Les épreuves ont rapidement commencé. A cause du danger et des persécutions dont ils pourraient être les victimes, ils ont caché leur opinions religieuses à leurs familles et ont commencé à économiser assez d’argent pour fonder une famille.
Le 25 mars 1994, les Tazehabadi ont eu leur premier enfant, une petite fille prénommée Tina, qui veut dire « fleur. » Pendant un temps, la nouvelle vie de la famille s’est améliorée. « Notre vie se passait bien. Ma fille grandissait et nous avons trouvé une meilleure maison à louer mais c’est comme si Dieu ne voulait pas que nous vivions en paix. Il nous mettait constamment à l’épreuve, comme pour nous garder éveillé, » a écrit Mina.
Iraj a lancé sa propre ligne de vêtements, mais alors qu’ils se préparaient à la naissance de leur deuxième fille, la compétition des fabriquant chinois a causé beaucoup de magasins de vêtements à faire faillite, y compris celui d’Iraj.
Le 20 avril 1998, Tara (qui veut dire « étoile » en perse) est née. Deux ans après, Mina a commencé à prendre des cours d’écriture à la Screenwriting Academy au ministère de la culture et a obtenu sa licence en écriture et plus tard en animation radio. En même temps, Iraj a commencé à se former pour devenir cuisinier.
Puis une deuxième épreuve est arrivée. Quand leur fille Tara avait 4 ans, elle s’est cognée la tête contre le sol et a eu une grave blessure à la tête. Bien que terrifiée, Mina a prié fervemment Dieu et Jésus-Christ de guérir sa petite fille. « Le miracle de sa guérison a tellement renforcé ma foi, » a dit Mina. « Je parle toujours à Tara de ces moments pour qu’elle connaisse les bénédictions et les miséricordes de Dieu. »
Trouver une nouvelle foi
Malgré leur nouvelles carrières et sécurité, les Tazehabadi savaient qu’ils ne pouvaient pas parler publiquement de leurs opinions sur le christianisme. Le seul moyen de pouvoir se convertir à une nouvelle religion serait de quitter leur pays d’origine.
En 2007 , les Tazehabadi ont pris un bus de l’Iran vers l’Arménie. Le voyage a duré trois jours et le deuxième jour, à la ville frontière de Nordooz, les Tazehabadi ont été pris dans une tempête de neige. Mais à 5h du matin le jour d’après, la famille est arrivée à Yerevan, où ils ont commencé à chercher d’autres religions.
Pendant qu’ils étaient dans un bazar à Yerevan, les Tazehabadis ont rencontré une autre famille iranienne et ils sont rapidement devenus amis. « Un jour, ils nous ont invité chez eux et quelques temps après, nous avons rencontré deux grands américains avec des plaques sur leurs chemises blanches… La famille iranienne les appelait « elders, » nous dit Mina.
Ces deux elders ont commencé à parler à Mina et à sa famille des mormons et d’un jeune garçon appelé Joseph Smith.
Après avoir été enseignés par les elders pendant trois semaines, la famille a eu son entretien pour le baptême. « Avant de commencer l’entretien, j’ai tout d’abord fermé le Livre de Mormon et j’ai parlé un peu de Dieu et du Christ et je leur ai demandé de me montrer la voie. Puis j’ai ouvert le Livre de Mormon et j’ai lu un verset : 3 Néphi 12:1 »
« … et lorsque vous serez baptisés d’eau, voici, je vous baptiserai de feu et du Saint-Esprit, c’est pourquoi, bénis êtes-vous, si vous croyez en moi et êtes baptisés, après m’avoir vu et avoir vu qui je suis. »
Après avoir lu ce verset, les yeux de Mina se sont remplis de larmes et ses mains tremblaient. Elle savait ce qu’elle devait faire.
Devenir membres de l’Eglise
« A 18h00, le 20 juillet 2007, nous nous préparions pour nous faire baptiser… Quand j’ai regardé mes filles, elles ressemblaient à deux anges. Mais cette journée était comme le premier test que Dieu avait pour nous. »
Au premier étage de la chapelle, une petite piscine avait été remplie d’eau chaude et propre pour le baptême. Mais la piscine était vide. La femme qui aidait à faire le ménage à l’Eglise leur ont dit que des hommes qui étaient contre que la famille se convertisse à une autre religion que l’Islam avaient vidé la piscine pour essayer de saboter leur baptême.
« Alors les elders et mon mari ont commencé à remplir la piscine avec des seaux d’eaux, » a écrit Mina. Mais cela était long et pénible et les missionnaires devaient rentrer à leur appartement pour 21h00 ce soir-là. « Un des elders nous a demandé de prier et de demander à Dieu que la piscine se remplisse plus vite. » Peu après, le président de mission a appelé et a dit aux elders qu’ils pouvaient rouvrir le tuyau d’eau et remplir les fonts baptismaux.
Quand elle est sortie de l’eau, le deuxième miracle de la journée pour Mina a été de recevoir la connaissance que grâce au Seigneur, elle avait été purifiée de ses péchés.
« Quand je suis sortie de l’eau, j’ai vu une image de Jésus avec ses mains tendues, prêt à m’embrasser… Le sentiment que j’ai ressenti en recevant le Saint-Esprit ne peut s’expliquer par des mots, on doit juste le vivre… Vous ressentirez une légèreté dans le cœur. Votre cœur tout entier sera en présence de Dieu. »
Le retour en Iran
Même si Mina et Iraj avaient enfin trouvé leurs réponses et la religion qu’ils avaient cherché pendant toutes ces années, le voyage des Tazehabadi était loin d’être terminé.
A cause des préjugés contre les Iraniens, Iraj a eu du mal à trouver du travail, et Mina a continué à de publier ses écrit sans recevoir le salaire promis. L’appartement de la famille a été cambriolé deux fois.
Face à tant de persécutions et de difficultés, Mina et Iraj ont pris la difficile décision de retourner en Iran où ils pourraient obtenir les documents dont ils avaient besoin pour bâtir un nouveau foyer et un jour offrir une meilleure vie pour leurs filles.
Cependant, retourner en Iran s’est montré être un voyage dangereux et terrifiant. « Il y avaient beaucoup de gardes et de soldats, et nous avions tellement peur qu’ils trouvent nos certificats de baptême » a dit Mina. « Mais je suis si reconnaissante à Père céleste qui m’a donné l’idée de mettre nos documents de baptême dans le Coran. » A la frontière, par respect, les soldats ont refusé de toucher le Coran des Tazehabadi avec leurs mains sales.
Après avoir passé un an et demi en Iran pour rassembler tout ce dont ils avaient besoin pour leur voyage, les Tazehabadi ont gardé leur conversion secrète, en sachant que si quelqu’un découvraient qu’ils s’étaient converti au christianisme, ils pourraient être emprisonnés et même tués.
« Mes parents ont décidé que nous ferions l’Eglise à la maison, » a dit Tara. « Chaque dimanche je jouais du piano et mon père bénissait la Sainte-Cène. Mina et Tina faisaient la leçon. Mais nous devions être très silencieux pour ne pas que nos voisins le sachent. »
La seule chose qui a permis aux Tazehabadi de continuer de l’avant pendant ce moment éprouvant était « La foi, la prière en famille et nos alliances, » a dit Mina.
En 2013, Mina a vendu son alliance pour financer le voyage de la famille pour fuir l’Iran jusqu’en Turquie. Quand ils sont arrivés à une station de train turque, ils n’avaient que 300 dollars et un numéro de téléphone dans un téléphone qui ne fonctionnait même pas.
Mais avec leur peu d’affaires, Dieu a accompli un miracle.
Le numéro allait les mettre en contact avec l’Eglise SDJ en Turquie. « Nous avons utilisé un téléphone à la station. » a dit Tina. Au final, quelqu’un a répondu au téléphone en leur disant qu’ils avaient un endroit pour la famille.
Pendant deux semaines, le temps de trouver un logement, les Tazehabadi sont restés dans la maison du président de branche d’Ankara, Ralph Hansen. Avec l’aide de président Hansen, les Tazehabadi ont pu inscrire les réfugiés dans une agence des Nations Unies. Les membres de la branche locale ont aidé la famille à trouver une nouvelle maison et Iraj à trouver un travail pendant qu’ils attendaient de savoir où leur nouvelle maison serait.
« Nous étions toujours inquiets » a dit Mina, « mais nous savions que Père céleste nous guiderait parce qu’il avait un plan pour nous. »
Pendant cette période, les Tazehabadi ont rencontré président Russell M. Nelson, Elder Randall K. Bennett et Elder Ronald A. Rasband, qui leur ont redonné espoir et les ont « encouragé à continuer à persévérer et à prier. »
Un nouveau départ
Quand la nouvelle année a commencé en 2016, les Tazehabadi ont appris qu’une nouvelle maison et un nouveau départ les attendaient à West Palm Beach, en Floride. Sponsorisé par l’UNHCR, l’IOM, et l’USCIS, les Tazehabadi sont arrivés aux Etats-Unis le 7 mars 2016.
« Notre premier dimanche a été remplis d’émotions, » a dit Shauna Hostetler, une membre de la paroisse de West Palm Beach qui est devenue une amie proche et un mentor pour la famille. » Tinq q dit : « notre voyage de 10 ans en tant que réfugiés est arrivé à sa fin. Nous avons pris l’avion de la Tunisie à Amsterdam et il faisait très, très froid. Et ensuite nous sommes arrivés à Nez York et il faisait encore très froid, mais quand nous avons atterri à New York, nous savions que nous étions en sécurité. Nous avons senti que nous étions enfin à la maison. »
La famille se rappelle, « le premier dimanche dans la paroisse de West Palm Beach a été très émotionnel. Nous avons rencontré beaucoup de personnes et d’amis qui nous ont traité comme de la famille, même si nous venions juste de les rencontrer. »
Après avoir été reniés par leurs familles, les Tazehabadis ont rapidement trouvé une nouvelle famille parmi les saints en Floride. « Toute la paroisse les aime et les ont accueillis, » a dit Hostetler. Que ce soit en les emmenant au séminaire le matin et à l’Eglise ou en les aidant à payer le loyer de leur appartement et à trouver des Ecritures en Farsi, les saints en Floride ont accueilli les Tazehabadis à bras ouverts.
Les Tazehabadis en retour ont été amenés à aimer et à embrasser la culture et le pays dont ils font maintenant partis.
« Quand ils ont fêté la fête nationale du 4 juillet, c’était comme Noël pour eux. Ils voulaient prendre des photos et avoir leur drapeau. Un frère dans la paroisse leur a donné son énorme drapeau et ils l’avaient accroché, ils pleuraient et prenaient des photos, » a dit Hostetler.
Bien que les Tazehabadis aient trouvé beaucoup de nouvelles opportunités en Amérique, leurs épreuves sont loin d’être terminées.
Après que des problèmes soient survenu avec une agence locale pour les réfugiés peu après leur arrivée aux Etats-Unis, les Tazehabadis se sont soudain retrouvés sans argent, sans aide pour trouver un emploi, sans cours d’anglais et sans beaucoup des ressources nécessaires pour se construire une nouvelle vie.
Alors que Tina et Tara parlent anglais, Mina et Iraj apprennent encore, ce qui rend leur adaptation encore plus difficile. Où qu’ils aillent, les Tazehabadis sont toujours victimes de préjugés et de persécutions envers leur race et leur religion.
« Ils sont dans un secteur où s’ils connaissaient l’espagnol, le créole, le portugais, ou le français ils pourraient sûrement trouver un travail. Mais dès qu’ils trouvent un travail où ils peuvent parler farsi et que ces personnes apprennent qu’ils ne sont plus musulmans, ils refusent de les employer » a dit Hostetler.
En plus de tout cela, la famille habite dans l’un des quartiers les plus dangereux de la ville. « Des gens trafiquent de la drogue de l’autre côté de la rue, » a dit Hostetler. « Les parents ont peur de laisser leurs filles prendre le bus seules. » Mais quand Hostetler a essayé de trouver un meilleur appartement à la famille, les propriétaires ont refusé quand ils ont appris que la famille était iranienne.
Malgré les préjugés continuels, les épreuves et les souffrances, la famille continue à espérer un meilleur future. Tara travaille à mi-temps et elle et sa sœur étudient afin de passer l’ équivalent du baccalauréat et d’être acceptées à l’université. Pendant ce temps, Iraj aspire à ouvrir un restaurant iranien et Minaj à publier l’histoire qu’elle a écrit sur sa famille, sur leur foi, leurs épreuves, leur parcours et leur conversion.
Mais plus que tout, l’espérance des Tazehabadis se trouve dans ce qui leur a continuellement donné de la force et leur a tant apporté.
« Père céleste ne nous abandonnera jamais, » a dit Iraj. « Nous le savons, nous pouvons tout faire. » C’est pour cela que nous sommes passés par tant d’épreuves, et même dans les moments les plus difficiles, nous savions que nous pourrions les surmonter ensemble. »
Il continue, « Si quelqu’un sait que Jésus-Christ est le fils de Dieu et que nous sommes tous enfants de Dieu, alors nous savons que nous pouvons surmonter n’importe quelle épreuve. C’est pour cela que nous disons toujours que notre Père céleste nous aime et qu’il ne nous abandonne jamais. »
S’accrocher à la foi
Le 30 avril 2016 et pour la première fois, la famille Tazehabadi s’est rendue au temple de Fort Lauderdale pour accomplir des baptêmes pour beaucoup de leurs ancêtres. Même si Mina et Irah attendent toujours que les dotations du temple soient traduites en Farsi, ils n’oublieront jamais le jour où pour la première fois ils étaient tous ensemble en famille dans le temple.
« Au temple, ils se sont assis et ils ont pleuré et sont restés dans les bras les uns des autres. Ils étaient adorables à prendre des photos, » a dit Hostetler. « Chaque fois qu’ils entendent parler d’un voyage au temple ils demandent s’ils peuvent y aller » … Ils sont si constants … La foi est la seule chose qui les aide à aller de l’avant. »
Après que l’agence pour les réfugiés n’ait plus voulu travailler avec eux, la première chose que les Tazehabadis ont fait a été de prier. Ils ont dit, « Dieu nous a mené jusqu’ici. Il nous aidera à continuer. Il nous a mené jusqu’ici. Il ne nous abandonnera pas. » Hostetler se rappelle. « Leur foi est tout pour eux. »
Pendant que les Tazehabadis continuent à savourer chaque instant de leur parcours dans l’Evangile, ils se rappellent de la source de lumière et de joie.
Comme Mina l’a écrit, « Qu’il est bon de constamment se souvenir du Christ, dans la tristesse ou dans la joie. Quand nous avons soif, rappelons-nous que Jésus avait soif et qu’il est mort pour nous sur la croix. Quand nous avons faim, rappelons-nous que même si Jésus avait faim, il a tout de même partagé sa nourriture avec autrui. Lorsque nous nous inquiétons pour un être cher qui est malade ou que nous sommes malades, rappelons-nous que Jésus a guéri les malades. Que nous soyons éveillés ou endormis, nous devons nous rappeler du Christ car c’est là que nous trouverons sa paix. »
Cet article a été écrit par Danielle B. Wagner, publié sur LDS Living sous le titre From Iranian Muslims to Mormon Refugees: One Family’s Incredible Conversion Story et traduit par Léa. Français ©2016 LDS Living, A Division of Deseret Book Company | English ©2016 LDS Living, A Division of Deseret Book Company
EN iran il y a dejà une religion qui existe c ‘est le zoroastrisme pourquoi se convertir a d’autres religions , l ‘islam est venu après le zoroastrisme et Zarahtustra qui a pour devise ” bonne pensée bonne parole et enfin bonne action”
Les zoroastriens n ‘ont jamais reconnu l ‘Islam et ils ont eu raison d ‘ailleurs.
Porque aller vers d’autres religions nier sa religion d’ origine l ‘oublier l’occulter les iraniens étaient tous zoroastriens avant l ‘Islam et aussi pendant l ‘Islam et pendant long temps, malgré les persecutions et il en existe encore.
Cher lecteur / chère lectrice,
merci pour ces précisions. Toutefois, seuls les membres de cette famille pourraient vous répondre, et le chemin spirituel d’une personne est quelque chose… et bien de personnel. Il est fort regrettable que le zoroastrisme ait subi les persécutions terribles qui ont eu lieu. Cela n’empêche qu’on ne peut forcer quelqu’un à croire à un Dieu (ou plusieurs), à une religion, contre sa volonté. La foi et la recherche du divin doivent être volontaires afin d’être pleinement acceptées par Dieu.
Cordialement, la rédaction.