Jésus-Christ est véritablement le Sauveur du monde dans son état actuel. Un monde avec ses imperfections, ses contradictions, ses doutes et son lot de pathologies physiques, psychiques, émotionnelles.

Nous pouvons trouver dans la documentation de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des derniers jours, l’introduction suivante à la publication de la déclaration commune de la Première Présidence de l’Eglise et du Collège des Douze Apôtres, du 1er janvier 2000.

Cette déclaration intitulée, « Le Christ Vivant », atteste de la qualité incontestable de Rédempteur et Sauveur du monde, de notre Seigneur Jésus-Christ.

 « Jésus-Christ est le Sauveur du monde et le fils de Dieu. Il est notre rédempteur. Chacun de ces titres souligne une vérité qui est que Jésus-Christ est le seul chemin par lequel nous pouvons retourner vivre avec notre Père Céleste.

Jésus a souffert et a été crucifié pour les péchés du monde offrant ainsi à chaque enfant de Dieu le don du repentir et du pardon. On ne peut être sauvé que par sa miséricorde et par sa grâce. Sa résurrection, qui a eu lieu par la suite, a préparé la voie pour que chaque personne surmonte également la mort physique. Ces évènements constituent l’Expiation. En résumé, Jésus-Christ nous sauve du péché et de la mort. En cela, il est notre Sauveur et notre rédempteur au sens le plus littéral… »

A travers les époques de notre monde, le Seigneur a reçu des noms évocateurs et prestigieux. Dans sa prophétie, Esaïe évoque cela dans le détail :

Car un enfant nous est né, un Fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père Eternel, Prince de la Paix. (Esaïe 9:5)

Dès lors, nous en apprenons beaucoup sur la vocation de notre Seigneur Jésus-Christ : Il est le Prince de la Paix en opposition avec l’adversaire. Il est l’Admirable, le conseiller, mais il est lui aussi, Dieu puissant. Il est le Père Eternel de l’Ancien Testament le grand JEHOVAH. Tels sont les grands enseignements de la prophétie d’Esaïe. On le connaît aussi sous le nom de Christ, de Seigneur, Maître, Rabbi.

Mais le qualificatif que j’affectionne le plus est celui de Sauveur. Car il est le Sauveur d’Israël, mais plus particulièrement et plus personnellement.

Il est mon Sauveur

Mon Sauveur reçut la responsabilité de Créer notre monde et d’en être le Christ, c’est-à-dire, le Fils unique de Dieu. Celui qui devait prendre sur lui nos péchés afin d’être le rédempteur de notre humanité. Avec la connaissance de toute chose, il s’est avancé devant la croix, comme un agneau allant au sacrifice. Lui qui n’avait pas péché, afin d’expier à notre place les abominations de cette terre.

Il est mon Ami, mon Roi et littéralement mon Sauveur. Grâce à ce don extraordinaire, je peux recevoir le baume salvateur du repentir. Je peux me lever à nouveau et avancer vers mon Père Eternel afin de vivre à jamais en sa présence et celle de ceux que j’ai connu et aimé durant ce séjour terrestre.

En mai 2007, le Président Thomas. S. Monson a rendu un témoignage émouvant de ce qu’il savait vrai :

De tout mon cœur et de toute l’ardeur de mon âme, j’élève la voix en tant que témoin spécial pour attester et déclarer que Dieu vit. Jésus est son Fils, le Fils unique du Père dans la chair. Il est notre Rédempteur ; il est notre Médiateur auprès du Père. Il est mort sur la croix pour expier nos péchés. Il est devenu les prémices de la résurrection. Parce qu’il est mort, tous revivront… Puisse le monde entier savoir cela et vivre en fonction de cette connaissance.

Amen.


Article original écrit par Rémy.